ARTICULATIONS EN GÉNÉRAL et ENTORSES
Décodages émotionnels extraits du "Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies" de Jacques MARTEL.

ARTICULATIONS (EN GÉNÉRAL)
Une articulation est une partie du corps où se réunissent deux ou plusieurs os permettant un mouvement adapté à l’anatomie du corps humain (synonyme : joint, jonction, jointure).
L’articulation représente la facilité, la mobilité, l’adaptabilité et la flexibilité, donnant au mouvement grâce et fluidité. Toutes ces qualités simples sont possibles avec une articulation en parfait état.
Cependant, elle a aussi ses limites. Comme l’os représente la forme d’énergie la plus « dense », la plus fondamentale de mon existence, les problèmes articulaires sont impliqués dans toutes les composantes physiologiques du corps humain (tissu, sang, etc.).
Ainsi, un trouble articulaire indique une résistance, une retenue, une certaine raideur dans mes pensées, dans mes actions ou dans l’expression de mes émotions souvent refoulées.
Une inflammation survient si j’ai peur d’aller de l’avant je deviens incapable de bouger, j’ai de la difficulté à changer de direction, je joue le jeu d’être détaché émotionnellement, je n’agis pas avec spontanéité, j’hésite ou je refuse de m’abandonner à la vie et de faire confiance.
D’où une colère qui résulte souvent du fait que j’ai refusé de communiquer mes frustrations et mes déceptions.
Lorsque je bouge avec douleur ou difficulté, mon corps exprime que je ne veux pas comprendre (ou accepter ↓♥ de comprendre) quelque chose qui me limite dans l’expression du Soi. Je me sens pris, verrouillé dans un aspect de ma vie. J’ai de la difficulté à être articulé, à voir clair dans mes pensées et à pouvoir les exprimer. Je me sens comme un « p’tit cul » avec bien peu de possibilités.
Des douleurs articulaires (arthralgie) montrent que les émotions et les chocs ont été supportés longtemps et ils deviennent insupportables parce qu’il y en a trop. Ces douleurs indiquent un repli sur soi, un manque de flexibilité (envers soi ou envers les autres) ou un manque d’adaptation.
Une raideur dans les articulations me dit comment je peux également « être raide » (rigide) dans ma façon de penser, intolérant et que j’aurais avantage à déposer mes œillères afin de voir la vie d’une façon plus positive. Je peux vivre trop en fonction des structures et de l’autorité extérieure au lieu d’écouter ma voix intérieure qui devrait être l’autorité suprême. J’ai l’impression de porter l’univers tout entier sur mes épaules.
Si mes articulations craquent, je m’en veux d’avoir fait ou dit certaines choses quand pourtant, aucune autre personne ne m’a fait des reproches.
Si mon corps en vient à une dégénérescence d’une articulation, je me retire dans ma tête, mon rationnel, me coupant ainsi totalement de cette existence que je refuse. Par rapport à ma rigidité à comprendre, en regardant la partie du corps affectée, je peux activer le processus qui consiste à accepter ↓♥ que j’ai quelque chose à comprendre.
Par exemple, les poignets, les coudes, les épaules ou les mains douloureux indiquent que je dois cesser une action ou un travail quelconque. Je veux me replier sur moi-même (coudes) car je suis fatigué ou las de faire ce que je fais ou d’être ce que je suis ; je ne veux plus en être responsable (épaules).
Les hanches, les genoux et les pieds (membres inférieurs) indiquent que je ne désire plus poursuivre la vie avec les difficultés qu’elle comporte. Je dois me rappeler que l’attention sur un seul et même endroit (c.-à-d. fixer inconsciemment l’énergie ou l’émotion sur une seule articulation) peut faire cristalliser cette énergie et immobiliser l’articulation. Dans ce cas-ci, le processus d’acceptation ↓♥ au niveau du cœur♥ est essentiel pour intégrer la prise de conscience par rapport à cette maladie et ainsi s’en libérer.
Une jointure est un endroit où deux os se rencontrent. Un malaise ou une maladie concernant celle-ci dénote une inflexibilité par