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CERVEAU : PARKINSON (Maladie de )

Décodage émotionnel issu du "Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies" de Jacques MARTEL.




La maladie de Parkinson est la détérioration des centres nerveux du cerveau,

particulièrement dans les régions contrôlant les mouvements.

Des tremblements apparaissent et affectent habituellement les mains et la tête.


Lorsque je tremble et que je trépide, c’est parce que je ressens ou vois un danger qui me guette ou guette quelqu’un que j’aime ; que ce soit la crainte de perdre le contrôle (que je perds de plus en plus !), l’insécurité ou l’impuissance d’aller de l’avant dans la vie.

Je me sens aussi impuissant ou incapable d’être le meilleur.

Je trouve que ma vie est très chaotique et j’ai besoin de plus de stabilité mais je semble avoir de la difficulté à atteindre cet état.

Je hoche la tête en signe de désespoir.

J’ai peur du futur, de ne plus vivre donc à quoi bon terminer les choses ?


Je peux aussi avoir vécu un traumatisme, un abus ou des difficultés qui

ont laissé des traces, et par rapport auxquels je vis les sentiments suivants : peine,

frustration, culpabilité, rage, dépression qui m’amènent à l’épuisement, au découragement, et que je veux fuir au lieu d’y faire face et de les régler.


Je peux m'être senti limité par mon milieu éducatif trop sévère et où la performance était de première importance.

J’étais probablement un enfant très agité.


Lorsque je suis en parfaite santé et que je tremble, il arrive souvent que ce soit parce que je suis nerveux et que j’ai peur d’accomplir une tâche à cause de mon manque de confiance en moi. Je crains toujours le pire.


Ces mêmes tremblements peuvent venir à se manifester d’une façon plus fréquente et automatique, et ils seront diagnostiqués plus tard comme étant la maladie de Parkinson.

Donc, si j’en suis atteint, il est fort probable que j’ai vécu beaucoup de situations où on m’imposait une certaine façon de faire les choses qui m’amenait à vivre de la nervosité intérieure. On m’empêchait d’être moi-même.


Ce pouvait être aussi une situation ou je devais retenir mon geste. Lorsque

« j’en ai plein les nerfs », que je veux que la douleur cesse, mon corps survolté n’en peut plus et la surcharge entraîne des réactions permanentes de celui-ci.


C’est comme si la haine que j’ai accumulée faisait bouger tout mon corps.

Le geste qu’on m’a interdit veut se manifester, comme pour montrer que je suis en vie.


J’ai l’impression d’être dans une voiture qui est stationnée et qui ne peut avancer. Je dois faire du « sur-place » et cela m’irrite au plus haut point.


Je m’autodétruis lentement, produisant la détérioration de la fonction nerveuse

actuelle. Une impuissance au niveau de la motricité de mes membres supérieurs

(particulièrement mes bras et mes mains) a sa source très souvent dans une situation que je vis où je voulais repousser une personne, une chose ou un événement ou, au contraire, que je voulais saisir et retenir et je me suis senti incapable (soit physiquement soit moralement) de le faire.


Cela peut avoir entraîné des conséquences graves, pouvant aller jusqu’à la mort.


Cela arrive quand mon/ma conjointe est sur le point de quitter son corps physique et que je veux le/la retenir de toutes mes forces.


Ayant eu l’impression que j’avais failli à la tâche, c’est comme si mon corps avait enregistré un stress et qu’ayant besoin de se libérer, il commençait à bouger, sans « ma permission ».


Si ce sont les membres inférieurs qui sont touchés

(mes jambes et mes pieds), c’est avec ceux-ci que j’aurais voulu soit repousser soit ramener à moi la personne, chose ou événement concernés.


J’ai le goût de fuir cette situation dans laquelle je me sens dépassé et que je perçois comme étant sans issue.


J’ai tendance à vouloir tout contrôler et la maladie me rappelle que je ne peux pas avoir le contrôle sur les autres. Je n’ai même plus le contrôle sur mes propres membres !

Je veux désespérément contrôler les autres mais je prends conscience que je ne peux avoir la maîtrise que sur moi-même.


J’accepte ↓♥ de me reprendre en main et d’apprendre à contrôler MA vie et non pas celle des autres, en faisant confiance en la Vie, et de me dire que je mérite de vivre.

Je me laisse guider par l’amour.

Il est beaucoup plus facile de laisser les autres libres.

Au lieu de vouloir prouver quoi que ce soit aux autres, j’accepte ↓♥ de montrer à tout le reste du monde mon univers intérieur avec toutes les émotions qui y ont été accumulées pendant ces nombreuses années.

Je suis moi-même, avec mon coeur♥ d’enfant et je vis maintenant ma vie d’une façon spontanée.


Pour être déjà intervenue sur un cas de "Parkinson" il y a plusieurs années, je sais que le soin peut diminuer l'intensité des crises et les espacer dans le temps.

Maintenant, avec les évolutions de protocoles de soin, je serai curieuse de retravailler sur cette pathologie afin de vérifier que nous puissions agir sur les terminaisons nerveuses plus profondément, les guérisons se font sur l'épilepsie alors pourquoi pas sur Parkinson ... Je laisse l'Univers m'envoyer les Êtres pour qui je peux être utile.

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